Le divin est donc lié fondamentalement aux possibilités positives exprimées, manifestées dans l'espace et le temps, l'univers et la nature, ou non encore réalisées. Ici, l'essence de Dieu se manifeste en tout et partout: "Dans un univers infini, holographique et fractal, chaque point est le centre. Vous êtes le centre de votre univers et chacun d'entre nous est le centre de son univers. Mais nous ne sommes pas pour autant isolés les uns des autres. Tous nos univers sont intriqués, connectés, interconnectés, interdépendants, reliés par la structure de l'espace. Nous sommes à la fois Un et multiples car chacun de nos univers vit dans un système de coordonnées spatiales différent et enregistre des informations différentes dans la structure de l'espace."- Nassim Haramein -
Être dans ces propriétés positives ou s'y référer définit aussi bien notre essence, celle de toute chose que celle du divin.
Ainsi le diable est une construction humaine illogique et non essentielle...
D'où vient alors notre fascination pour la violence ?
Il arrive toutefois qu'être tel que l'on est - ou être soi tout simplement - ne soit justement pas perçu comme une propriété positive. Il y a alors grand danger de basculement dans une violence réactionnelle dirigée contre soi et/ou contre les autres.