De plus en plus d'études en neuroscience montrent que la conscience est indispensable au bon fonctionnement du cerveau qui sans elle serait anarchique. Le rôle des ondes est donc primordial.
Comme je ne suis pas un scientifique, je vous résume ce que des gens compétents en disent:
Mentionnons par ailleurs que le cerveau est divisé en deux hémisphères, puis en plusieurs aires, chacune ayant une fonction importante : aires du langage, de la sensibilité corporelle, de l'émotion, etc. En ce qui concerne les hémisphères, on sait qu'ils fonctionnent le plus souvent dans une relative indépendance, et que le gauche, généralement dominant, est le siège de la logique et du rationnel, tandis que le droit est celui de la créativité.
La fréquence des ondes cérébrales varie donc selon le type d'activités dans lequel on est engagé, mais les individus non entraînés ont relativement peu de contrôle sur celles-ci. Trop de stress, par exemple, et le système nerveux n'accepte pas de se détendre : les ondes cérébrales continuent alors de se maintenir dans la fourchette bêta et il est impossible de trouver le sommeil...
D'autre part, on avance que les meilleures ressources mentales pour la créativité et la résolution de problèmes se situeraient dans la fourchette des ondes thêta, auxquelles, malheureusement, on n'accède pas facilement.
"Le fonctionnement du cerveau est à la fois chimique et électrique. L'électrique vient en premier. Quelque chose excite des millions de neurones, simultanément, dans de nombreuses zones différentes du cerveau. Ce quelque chose peut être un stimulus externe : une vision, un son, une odeur ou une sensation. Il peut être aussi interne, tel un souvenir ou une intention. Ou peut-être une combinaison des deux, comme lorsque je demande à quelqu'un de penser à quelque chose qui ne lui était jamais arrivé : tomber de sa bicyclette et se casser le dos. L'accident est imaginaire, mais le son de ma voix, qui utilise des symboles linguistiques, est physique.
Quel que soit le stimulus, il excite les neurones selon un certain rythme, y compris une excitation particulière à haute-fréquence appelée "oscillation gamma synchronisée". Elle ne dure qu'un quart de seconde, mais cette synchronisation des oscillations dans différentes zones du cerveau fait que les gens considèrent les pensées comme un tout cohérent. Une "pensée" est constituée de millions d'impulsions électriques séparées dans des zones cérébrales différentes (zone sensorielle, zone moteur, centres des émotions, tout cela). Mais à cause de la synchronisation de l'oscillation gamma, la personne "expérimente" la pensée comme une simple image effrayante, douloureuse, d'une chute de bicyclette et d'un dos cassé. C'est le schéma des excitations qui est important, au niveau macro.
Jusque là, j'espère que je suis compréhensible ?
Maintenant, voilà ce qui arrive au niveau chimique. Dans chaque nerf, l'impulsion électrique en déplacement crée un champ électrique toroïdal, également en mouvement, qui a le nerf pour axe. Le champ atteint la terminaison neuronale, là où il y a très peu d'espace entre l'extrémité de ce nerf et le début de l'autre. C'est la synapse.
A l'extrémité de toutes les épines dendritiques, il y a des structures appelées grilles présynaptiques paracrystallines. Elles ressemblent à de minuscules treillis rigides à l'intérieur d'une minuscule pyramide. Dans les interstices entre chaque grille, il y a trente à quarante petit ballons appelés vésicules, à l'intérieur "desquelles" est stocké un neurotransmetteur chimique. Certaines grilles contiennent de la dopamine, d'autres de la sérotonine, d'autres des peptides qui inhibent la douleur, et ainsi de suite...
Par conséquent, l'impulsion nerveuse électrique arrive à la grille présynaptique dont toutes les vésicules pleines de neurotransmetteurs sont en attente, et elle y provoque un influx d'ions de calcium qui fait qu'une - et une seule - vésicule se vide dans la synapse. Qui, à son tour, excite le nerf se trouvant de l'autre côté du synapse, ce qui fait exploser ses ballons de transmetteurs, et ainsi de suite. On a une cascade chimique, et les produits font tout ce que l'on attend d'eux dans un organisme. Décharger l'énergie pour nourrir l'action. Stimuler les cellules motrices. Influer sur le courant sanguin. Faire couler l'adrénaline ou monter les émotions ou tout ce que vous voudrez. Tout cela, jusqu'à maintenant, nous le comprenons très bien.
Mais comprendre les parties ne signifie pas que nous comprenons le cerveau comme un tout. Le tout est plus grand que la somme de ses parties.
(Source:http://forums.futura-sciences.com/biologie/32204-oscillation-gamma-cerveau.html)
Les biophotons.
Depuis une centaine d'années, des scientifiques de plusieurs pays (Gurwitsch, Kaznacheev, Gariaev, Inaba, Popp, et d'autres) ont montré que les organismes vivants émettent de la lumière (biophotons) à très faible intensité. Tel un laser, l'ADN est à la fois la source et le lieu de stockage de ces photons. L'ensemble des biophotons de l'organisme constitue un champ cohérent porteur d'information, sous forme d'hologrammes, qui dirige les processus vitaux de l'organisme et maintient son intégrité. Grâce à ces rayonnements, les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire. D'autres informations constituent un code génétique électromagnétique holographique qui assure et coordonne le développement de l'organisme. Cela explique des phénomènes inexplicables par la génétique moléculaire comme la différentiation des cellules. Des applications pratiques de ce phénomène ont été conçues pour évaluer la qualité des aliments et améliorer l'état de santé des êtres vivants par des techniques non destructrices
« Il est essentiel de comprendre que l'énergie et les informations échangées par l'organisme le sont principalement à l'aide d'interactions électromagnétiques. Celles-ci sont d'une importance cruciale dans les processus biologiques.
Le système électromagnétique d'un organisme est créé d'une part par le va-et-vient des particules (électrons, atomes, molécules) porteuses de charges électriques et génératrices de courant, et d'autre part par des photons.
Un stress conduit donc à un changement du flux électromagnétique global, ce qui entraîne des modifications de l'organisation et des réactions biochimiques du système.
Pourquoi les échanges biochimiques des processus associés à la pensée et aux émotions n'auraient-ils pas le même effet ?
La plupart du temps, les biophotons sont relâchés dans une situation de stress : le stress oxydatif.
C’est une condition clé. Lorsqu’il y a un déséquilibre, une perturbation, le système devient instable et ne peut conserver son énergie. C’est alors qu’il va produire des biophotons. Reformulé en termes thermodynamiques (qui décrivent les échanges d’énergie entre différents systèmes), un organisme échange avec son environnement de l’énergie, de l’information et de la matière. C’est ainsi que se forme une structure hautement organisée, un organisme
vivant doté d’un réseau complexe de boucles de rétroaction suscitant de complexes séquences de réactions en chaîne.
Depuis Prigogine, en 1961, on sait que l’état le plus économe, où tous les processus se déroulent en cohérence, est celui qui produit le moins d’entropie. C’est-à-dire le moins de désordre et de déperdition d’énergie. Or, confronté à n’importe quel stress, le flot continu d’énergie inhérent à tout organisme est perturbé et doit s’adapter à la nouvelle situation. Autrement dit, dès que l’entropie se développe et qu’il y a des déséquilibres, l’émission de biophotons augmente. L’énergie lumineuse se dissipe vers l’extérieur. À l’inverse, dans des conditions « normales », lorsque l’ensemble de la machinerie de notre biosystème travaille en harmonie, le flux des photons est stable et naturellement très bas.
Nous avons d’ailleurs montré dans une expérience que les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. 35 % de moins en moyenne que dans le groupe témoin. (Roeland Van Wijk, in revue Nexus 77/2011). »
LA SYNCHRONISATION DES HÉMISPHÈRES CEREBRAUX
La plupart du temps, chaque hémisphère de notre cerveau engendre des signaux qui sont indépendants des signaux générés par l'autre hémisphère. Par contre, lors de certains états d'expansion de conscience, on a observé que l'activité électrique des hémisphères se synchronisait. Les chercheurs ont remarqué que cette synchronisation se produisait au cours de méditations profondes ou de périodes de créativité intenses, lors desquelles les deux hémisphères tendent à s'harmoniser l'un à l'autre pour atteindre un rythme unique et cohérent. Il existerait donc une corrélation entre le comportement de l'homme et l'activité de ses ondes cérébrales. La synchronisation favoriserait un sentiment d'unicité où l'individu fonctionne d'une façon plus intuitive. Il peut être en son être véritable.
Ce sont les ondes gamma qui le permettent au mieux ; pour favoriser une grande activité cérébrale, il faut associer les 3 cerveaux – reptilien, limbique et néocortex – à travers de l’intensité, de l’affectivité et de la raison. C’est le langage reconnu par l’Univers permettant l’échange d’information.
L'importance des ondes gamma:
Des chercheurs ont étudié les ondes cérébrales sur des rats, en s'intéressant plus spécialement à trois zones distinctes de l'hippocampe, la partie du cerveau principalement responsable de la mémoire à long terme et du repérage dans l'espace.
«Nous avons découvert l'existence d'ondes gamma rapides et lentes, venant de différentes zones du cerveau, exactement comme des stations de radio émettant sur des fréquences distinctes»,
explique Laura Colgin, auteur principal de l'étude et réalisant un post-doctorat au Kavli Institute for Systems Neuroscience and Centre for the Biology of Memory en Norvège.
«Lorsque les cellules nerveuses veulent se connecter, elles synchronisent leur activité», poursuit Mlle Colgin. «Littéralement, elles accordent leur longueur d'onde. Nous avons notamment étudié le rôle des ondes gamma dans la communication entre des groupes de cellules dans l'hippocampe, et avons découvert ce qui peut être décrit comme un système de radios dans le cerveau. Les basses fréquences transportent la mémoire des expériences passées, les plus hautes véhiculent ce qui se passe sur le moment.»
Les chercheurs supposaient jusqu'ici que le traitement de l'information par le cerveau suivait des voies fixes. Cette nouvelle étude suggère que le cerveau est en fait bien plus souple.
«Une cellule donnée dans le cerveau reçoit des milliers d'entrées, mais elle peut choisir de n'en écouter qu'une et d'ignorer le reste. En outre, ce choix peut changer à tout moment», résume le Dr Edvard Moser, directeur du Kavli Institute for Systems Neuroscience, qui déclare:
«Nous pensons que la commutation gamma est un principe général dans le cerveau, qui sert à renforcer les communications entre les régions cérébrales.»[1]
Il y a donc bien une intentionnalité de la conscience non réductible à de simples états du fonctionnement inconscient du cerveau. L’idée fait en tous les cas son chemin. Une expérience étonnante menée sur des rats par l’équipe de Jimo Borjigin[2] de l’université du Michigan a ainsi montré une forte augmentation durant trente secondes des oscillations gamma même après l’arrêt du cœur des animaux. Quelque chose excite des millions de neurones simultanément dans de nombreuses zones différentes du cerveau même après la mort cérébrale! L’activité n’est pas chaotique et il y a bien une connectivité non imputable aux seuls neurones. Si cela prouve que les rats ont une conscience, comment ne pas y voir aussi l’existence d’une conscience non-localisée dont nous parlent celles et ceux qui ont vécu une EMI (expérience de mort imminente) ou des états de conscience modifiée? À travers les ondes gamma, il y a bien un au-delà à l’immanence, à la simple conscience ancrée dans notre corps.
[1] Revue Nature, 19 novembre 2009, vol. 462
[2] Source PNAS, vo.110 no 35, juillet 2013.
La communication gamma:
Pour la neurologue Laura Colgin, lorsque les cellules nerveuses veulent se connecter, elles synchronisent leur activité en accordant leur longueur d’onde gamma à la manière d’un système radio : Les basses fréquences transportent la mémoire des expériences passées, les plus hautes véhiculent ce qui se passe sur le moment. Et l’information sera tout particulièrement traitée par l’hippocampe – le siège de la mémoire affective – et par l’amygdale – le siège de la mémoire factuelle qui vont transmettre à l’insula les réponses à traduire chimiquement. (C’est vraiment fabuleux et ça mérite d’être mieux connu…). Nous encodons ainsi toute chose - sans le savoir - dans un passé-présent permanent. Selon la neurologue Fabienne Picard l’insula serait impliquée dans un mécanisme de prédiction de la façon dont le corps va se sentir quelques instants plus tard. C’est elle qui nous indiquerait que faire si l’environnement a changé. Si la prédiction est correcte ou l’erreur négligeable, alors nous nous sentons bien. Dans le cas contraire, nous ressentons un malaise qui stimule une nouvelle recherche d’adaptation. La comparaison entre la prédiction et la réalité est donc permanente. L’insula est impliquée dans nombre d’émotions de base : la souffrance, l’injustice, la colère, la peur, le dégoût, le bonheur et la tristesse. C’est elle qui établit une carte du corps en temps réel, elle qui réagit à tout ce qui se présente. La comparaison entre la prédiction et la réalité est donc permanente. Elle peut être entravée ou altérée par des pathologies somatiques spécifiques, mais elle le sera aussi par nos pensées, nos sentiments, nos émotions, nos affects, nos convictions intimes de type placebos ou nocebos, nos blessures symboliques ou narcissiques ressassées en boucles de rétroactions négatives. La sensation que tout va bien ou au contraire que tout va mal est immédiatement traduite en temps réel. Nous aurions ainsi tout intérêt à porter notre attention sur ce qui parle en nous. Plus précisément en notre coeur, notre 2ème cerveau, car le coeur humain génère le plus fort champ magnétique dans le corps, soit près de 5000 fois plus intense celui émis par le cerveau. Ce champ se manifeste sous forme d’un anneau s’étendant bien au-delà du corps physique et qui a été mesuré à des distances variant entre deux et trois mètres du coeur physique. Certaines données laissent cependant croire que ce champ est si grand qu’il peut s’étendre à plusieurs kilomètres autour de nous. Ce champ magnétique du coeur réagit à la qualité des émotions que nous suscitons dans nos vies. Tout comme le lien intuitif entre les sentiments et le corps semble le suggérer, les émotions positives accentuent l’équilibre hormonal et la stabilité du rythme cardiaque, ainsi que la lucidité et la productivité intellectuelle et physique. Des études ont d’ailleurs démontré que les émotions négatives peuvent influencer jusqu’à 1400 processus biochimiques dans le corps et entraîner notamment un déséquilibre hormonal, de l’arythmie cardiaque et de la confusion mentale …
Le revers de la médaille: le renforcement positif et négatif.
« Les humains ne perçoivent leur existence individuelle que par les entraves, les blessures et les mutilations qu'ils ressentent en leur corps et leur cœur. Ils "se fabriquent" par des émois contrés, quand celui qui les contre est aimé, respecté, désiré. C'est cette expérience, cet affrontement qui, au jour le jour, déterminent leur histoire personnelle » disait avec raison Françoise Dolto. Mais nous nous fabriquons aussi des émois positifs. Boris Cyrulnik nous apprend que nos chemins de vie se situent sur une crête étroite, entre toutes les formes de vulnérabilités, génétiques, développementales, historiques et culturelles, et les mécanismes de protection, de dépassement mis en place. À l'évidence, pour résilier un malheur passé, il faut justement avoir été vulnéré, blessé, traumatisé, affecté, déchiré...
C'est faire suivre un comportement souhaité de conséquences agréables : Rire, sourire, chanter, bouger, écrire, aller vers ce qu'on arme, Ce qui détend, agir même parfois sans réfléchir, être en contact avec la nature, manger sainement, voir le positif, le beau, prononcer une déclaration quotidienne d'estime de soi, nourrir de la gratitude, bénir toute chose, aimer et s'aimer sans fureur ni férocité, respirer consciemment et méditer, faire dépôt de nos attentes et besoins à l'univers, laisser partir, laisser venir, demander l'Aide divine, recevoir avec gratitude et émerveillement ces inspirations, intuitions, prémonitions, heureux hasards, coïncidences et synchronicités si généreusement offertes...
C'est faire suivre un comportement souhaité du retrait de conséquences agréables : la rivalité, la convoitise, la négativité, du mépris, de la honte,
des peurs, des addictions, du pessimisme, du défaitisme, de l'à
quoi-bon, du non-amour, des maltraitances, malfaisances,
médisances, nuisances, sabotages, violences ordinaires, de la
fascination pour tout ce qui est pris de force, par ruse, chantage
affectif, séduction ou mystification...
L'hypervigilance
Normalement, notre instinct nous pousse à rechercher la sécurité, le contentement en évitant la douleur ou les situations à fort risque d’échec. Cette quête « instinctive » est fonction de nos vécus : elle est donc unique. Elle peut aussi, en cas de trauma grave ou de choc post-traumatique, s’inverser, sombrer dans l’hypervigilance au point que la personne se sent en permanence menacée et inquiète. Elle subit alors un cortège de réactions émotionnelles et neurovégétatives très handicapantes : souffle court, mains moites, transpiration subite, arythmie cardiaque, nausée existentielles, détresse respiratoire, irritabilité, troubles du sommeil, colère, phobies ou détachement envers autrui. Tout est susceptible de raviver les souvenirs douloureux. Une récente étude de l’Université de Porto Rico, parue dans la revue Nature de janvier 2015, a démontré que le rappel de souvenirs traumatiques empruntait des circuits cérébraux différents ; un souvenir simple passe par l’hippocampe, transite par l’amygdale puis par le thalamus. La réactivation d’un souvenir douloureux, sept jours après l’événement, passe par le cortex préfrontal qui contrôle les émotions, puis par le thalamus - qui est en quelque sorte « le cerveau dans le cerveau » ou si on préfère une gare de triage neurosensorielle gérant nos sensations, nos capacités motrices, les états de conscience, de vigilance et de sommeil – pour être ensuite traité par l’amygdale qui gère les réactions émotionnelles, en particulier la peur. Nous ne sommes donc pas égaux devant nos traumas. Celles et ceux qui en souffrent ont grand besoin que nous en ayons conscience, et plus encore que leurs souffrances soient reconnues.
Le stress force notre cerveau à rester en alerte et à émettre des ondes bêta
Le problème survient lorsqu'une onde cérébrale commence à dominer la plupart du temps, qu'elle devient omniprésente dans notre quotidien. C’est exactement ce que provoque notre société moderne : la culture du stress force notre cerveau à rester constamment dans le modèle des ondes bêta (état d’alerte), et ses conséquences sont désastreuses pour notre organisme. D’où l’importance d’apprendre à gérer et à produire d’autres ondes cérébrales.
L’histoire humaine se résume à une gigantesque évolution cérébrale. Assurément, le cerveau de l’homme préhistorique émettait surtout des ondes lentes thêta ou alpha à l’état d’éveil. Aujourd’hui, les ondes bêta prédominent au quotidien. Les ondes gamma prédomineront peut-être l’humanité de demain. Les crises incessantes qui secouent la planète nous aident, en vérité, à éveiller les ondes gamma supérieures du cerveau. Elles symbolisent l’étape prochaine de notre évolution cérébrale.
Toutes ces ondes ont un rôle bien défini à jouer; elles participent à la gestion de la complexité inouïe de notre corps comme à son bon fonctionnement. Nous sommes encore loin d'en avoir compris toute la subtilité ! Mais cela viendra inexorablement.
La communication par les ondes nous donne de précieuses informations sur ce que devrait être alors la conscience qui ne sera évidemment pas un simple produit de nos activités cérébrales ou mentales.