Ce mouvement intellectuel et culturel estime que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort sont des aspects inutiles et indésirables de notre condition humaine ; il prône donc l’usage des sciences, des biotechnologies et des techniques émergentes, pour améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Des entreprises se sont déjà mises au travail, en Chine, en Corée et aux USA, en pariant qu’il y aura toujours une demande et une clientèle fortunée pour acheter leurs produits. Tout récemment, le géant Google s’est lancé dans cette course à l’innovation en devenant le leader mondial de la robotique. En 18 mois, il a acquis les huit principales entités mondiales dans ce domaine et nommé Ray Kurzweil, un inventeur génial dans le domaine de l’intelligence artificiel, comme directeur de son projet. Google a pour objectif de réaliser la fusion entre l’intelligence artificielle et l’intelligence biologique par la création d’êtres hybrides à la fois homme et machine. Pourra-t-on un jour transférer l’esprit humain dans des circuits intégrés ? De telles approches vont engendrer des problèmes éthiques considérables tout particulièrement dans la manière de traiter équitablement les humains améliorés et les autres. Où va-t-on situer la frontière entre la clause du besoin et celle de la nécessité ? Nos démocraties auront grand besoin de repères et de valeurs pour canaliser la soif de profits des entreprises privées et faire respecter les droits universels.
Philippe Guillemant n'a de cesse de nousavertir du danger encouru:
Le premier téléphone implantable commercialisé est prévu pour 2025. Au programme, géolocalisation, suivi du comportement de santé, tatouage intelligent ou puce électronique et lecture d’onde cérébrale c’est à dire de la pensée.
Il y a aussi les « smart dust » ou poussières intelligentes qui pourront agir dans le corps et stocker vos informations corporelles via votre nanoréseau personnel.
En 2020, nous avons déjà gravi les trois premières marches vers le transhumanisme que j’ai déjà évoqué plusieurs fois.
(1) 2020 = Confinement pour éviter l’infection
(2) 2020 = Déconfinement pour éviter l’effondrement
(3) 2020 = Port du masque obligatoire pour éviter le reconfinement
Nous pouvons maintenant anticiper une possible montée linéaire des marches suivantes :
(4) 2021 = Vaccination obligatoire pour éviter le port du masque
(5) 2022 = Micro puce implantée (contrôle de vaccination)
(6) 2023 = Monnaie numérique mondiale (grâce à la micro-puce)
(7) 2024 = Traçage humain (identification du comportement)
(8) 2025 = Interfaçage numérique de l’humain (même du cerveau !)
(9) 2026 = Transhumanisme (humain cuit, connexion âme détruite)
Et voilà le programme, qui fort heureusement est en train de disparaître car le pétage de plomb depuis le confinement est bien trop voyant et il en résulte que nous les grenouilles subissons une cuisson bien trop rapide.
Voici ce qu'en dit Philippe Guillemant: " (...)Je suis donc optimiste, car la révélation scientifique de la réalité de l’âme et de toutes les potentialités de la conscience va complètement ringardiser l’ancien futur transhumaniste, fondé sur l’idée que l’âme n’existe pas. Cet ancien futur essaie de nous faire peur, car la peur est une vibration émotionnelle qui nous ramène vers lui, à l’opposé de la joie qui nous emmène vers un nouveau futur, profondément humain et solidaire.
N’oublions jamais qu’au sein du multivers, le futur que nous allons vivre est adressé par nos pensées transférées par la vibration de nos émotions. Plus nos vibrations sont élevées et subtiles, plus l’adressage est puissant, c’est mathématique.
Si nous ne voulons pas du transhumanisme, soyons lucides et sachons dire non, mais sans vibrer ni la peur ni la violence. Vibrons plutôt la joie et la puissance de l’être souverain et confiant qui sait que ce futur ne passera pas par lui. Vibrons des projets solidaires, autonomes et résilients qui valorisent la nature au lieu de la détruire. Rêvons de rejoindre des initiatives innovantes et créatives en allant nous installer dans les campagnes.
Mais n’oublions jamais qu’on ne crée pas son futur avec son mental mais avec son coeur."
La puce de Neuralink: « C'est comme une Fitbit [montre connectée] dans votre crâne », s'est enthousiasmé Elon Musk vendredi, lors d'une conférence en ligne sur les progrès de son projet d'interface reliant le cerveau aux ordinateurs qui suscite beaucoup de scepticisme dans la communauté scientifique. L'entrepreneur futuriste (Tesla, SpaceX) a présenté il y a un an une puce dotée de fils ultra-fins, pouvant être implantée dans le cerveau par un robot -- une sorte de machine à coudre ultra-précise.
Le nouveau modèle, sans-fil grâce à la technologie Bluetooth, se recharge la nuit et mesure 23 mm de diamètre (comme une petite pièce de monnaie) sur 8 mm d'épaisseur. En théorie, la puce ronde sera implantée dans le cerveau sans qu'il y ait besoin de passer une nuit à l'hôpital, et sans laisser de trace, si ce n'est une petite cicatrice sous les cheveux. Elle servira d'abord à traiter les maladies neurologiques. Mais l'objectif à long terme est de rendre les implants si sûrs, fiables et simples qu'ils relèveraient de la chirurgie élective (non urgente). Des personnes pourraient alors débourser quelques milliers de dollars pour doter leur cerveau d'une puissance informatique.
De nombreuses entreprises travaillent sur le contrôle des ordinateurs par la pensée, et d'autres d'interfaces cerveau-machine sont en cours de développement. Facebook finance ainsi un projet pour traduire en mots l'activité du cerveau, via des algorithmes, afin de rendre la parole aux personnes rendues muettes à cause de maladies neurodégénératives.
De nombreux scientifiques rappellent cependant que le cerveau n'est pas aussi compartimenté qu'on aimerait le croire. « Chaque cerveau a une structure unique, massivement interconnectée », a commenté Dean Burnett, chercheur de l'université de Cardiff, en amont de la conférence, se disant sceptique sur les véritables avancées de Neuralink. L'objectif du fantasque patron, avec cette présentation sur YouTube, était avant tout de séduire et de recruter de nombreux ingénieurs, chirurgiens, chimistes, spécialistes de la robotique et autres. La start-up ne compte qu'une centaine de salariés, mais en espère 10.000 aussi vite que possible, pour relever une montagne de défis.