Bien sûr, comme le signal l'auteur sur son site internet, il est à l'origine de publications scientifiques:
Des publications internationales à referees (arbitres scientifiques) à partir de 1998 :
Quatre publications scientifiques internationales à referees (arbitres scientifiques) de 1998 à 2001 consacrées à la théorie elle-même :
- J.P. Garnier-Malet, 1998, Modelling and Computing of Anticipatory System: Application to the Solar System, International Journal of Computing Anticipatory Systems. Vol 2. 132-156, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège Belgium.
- J.P. Garnier-Malet, 1999, Geometrical Model of Anticipatory Embedded Systems, International Journal of Computing Anticipatory Systems. Vol 3. 143-159, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège Belgium.£
- J.P. Garnier-Malet, 2000, The Doubling Theory, International Journal of Computing Anticipatory Systems Vol 5. 39-62, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège Belgium.
- J.P. Garnier-Malet, 2001, The Three Time Flows of Any Quantum or Cosmic Particle, International Journal of Computing Anticipatory Systems Vol 10. 311-321, Ed. by D.M. Dubois, Publ. By CHAOS, Liège Belgium
En 2006, il reçoit un Best Paper Award pour sa publication à l’American Institute of Physics (AIP). « The Doubling Theory Corrects the Titius-Bode Law and Defines the Fine Structure Constant in the Solar System » Seventh International Conference 2006 – American Institute of Physics 0-7354-0331-7/06
En 2009, une autre publication de JPGM à l’ICNAAM : “The Doubling Theory” provides the calculation of two universal constants (speed of light – fine structure constant) and it explains the dark energy and the dark matter (abstract à l’A.I.P.).
Mais, n’appartenant plus à un laboratoire de recherche, ayant largement dépassé l’âge de la retraite, il ne dispose plus du soutien habituel apporté aux chercheurs par les centres de recherche, laboratoires ou universités. Il recherche l’homme de science capable de l’aider à faire connaître la théorie du dédoublement, suivant ainsi le conseil de Descartes :« Oublie une fois dans ta vie tout ce que tu sais, pour accepter une idée nouvelle ! »
Mais pour autant, cela ne veut pas dire que sa théorie soit reconnue!
Depuis un siècle maintenant, aucune n'a pu réellement s'imposer!
En mai 2014, la prestigieuse revue Scientific American Magazine dénonçait l'impasse de
la physique classique :
- Impossible de relier les mondes quantique et cosmologique.
- Complexité insurmontable des équations.
- Modèles utilisant des systèmes fermés donc jamais totalement justes, toujours approximatifs.
- Impossibilité de gérer la notion d'infini.
- Nécessité de trouver des moyens de "raccommoder" la théorie en y ajoutant de nouvelles forces ou de nouvelles constantes fondamentales.
A cela il faut encore ajouter - pour nous autres profanes et non scientifiques - un autre sujet de perplexité: mes physiciens préférés Philippe Guillemant, Nassim Haramein, Jean-Pierre Petit et maintenant Jean-Pierre Garnier-Malet connaissent leurs travaux respectifs mais ne collaborent pas...Chacun défend son approche exclusive.
C'est l'impasse forcément. Que l'on retrouve bien dans la critique ci-dessous qui pointe fort justement des problèmes notamment pour généraliser l'intrication mais qui est un reproche valable pour la science conventionnelle aussi qui ne parvient pas à rendre totalement compte de ce phénomène...
Le détournement du temps approche critique de J François Ghoche:
Grâce à cette hyperincursion de son futur dans son passé, cette particule intermédiaire obtient un passé instantané correspondant à son futur. Il y a une audace certaine à affirmer que les raisonnements précédents exposés par JPGM permettent de déduire que le passé d'une particule correspond au futur d'une autre particule. L'hyperincursion est certes une méthode de calcul permettant d'obtenir plusieurs résultats par unité de temps en tenant compte des valeurs concernées à un instant passé et futur, en plus de l'instant présent. Mais de là à instituer une méthode de calcul en postulat de réalité physique, il y a un pas qu'un mathématicien raisonnable ne devrait pas franchir sans preuves expérimentales. A partir de ce stade, il devient difficile pour moi d'être d'accord avec le raisonnement déductif de l'auteur de la théorie. Son événement présent est donc toujours l’actualisation d’un potentiel résultant de cette hyperincursion. L’horizon d’un observateur physique pourrait être juxtaposé avec deshorizons de particules virtuelles pendant une ouverture temporelle. A supposer que nous acceptions le postulat que la particule est porteuse d'une information élémentaire sur son futur proche (postulat arbitraire que j'ai réfuté), cela veut-il dire que le même type de raisonnement peut être appliqué aux constructions de particules que sont les atomes? En effet, un atome est une construction qui peut être autrement plus complexe que l'ensemble de particules qui le composent. Dans cette construction, les particules perdent une partie de leur individualité en faveur d'un comportement nouveau du groupe. Dans ce cas, les caractéristiques dominantes de certaines particules périphériques seulement ont un rôle d'interaction avec l'extérieur de la construction. A supposer qu'il puisse être envisagé que les particules puissent continuer à avoir accès aux informations les concernant (tel que le postule JPGM). Il est encore plus arbitraire d'extrapoler un comportement similaire pour l'atome, notamment. Quant à la composante ondulatoire sous-jaçente. Elle se contente d'être un support collectif, qui est à la base et participe sans doute à la stabilité d'ensemble de la construction, mais qui ne peut être investie du rôle de porteuse de ces informations individualisées, puisque l'individuation ne prend naissance qu'avec la particule corpusculaire, qu'elle soit en rotation ou en résonance. A fortiori, franchir allègrement tous les niveaux suivants – molécules, substances chimiques, substances organiques, organes, corps physique, être pensant – pour appliquer le même raisonnement à un « observateur physique » est carrément tiré par les cheveux. Chacun de ces stades intermédiaires se comporte comme un monde obéissant à des lois de groupe qui lui sont propres. A chaque stade, la construction de la matière et de la vie devient plus complexe. Or il est un principe élémentaire que l'on pourrait exprimer ainsi: la somme des arbres ne fait pas la forêt. Un observateur physique pourrait donc anticiper son futur. A supposer que (selon JPGM) l'observateur physique doué de conscience profite d'une « fenêtre » pour accéder à des informations véhiculées par des particules élémentaires sur leur état futur de particules quelques nano-secondes plus tard, je ne vois de toute façon pas l'importance que cela pourrait avoir pour son avenir d'être conscient. Même si nous admettions que les formules applicables aux particules élémentaires en rotation puissent (sous réserve de preuves expérimentales) être extrapolables aux soleils ou autres planétoïdes, en rotation également. Une caractéristique des organismes vivants est justement de ne pas être obligatoirement en rotation, et d'ailleurs, pour ce qui est de l'humain, de ne pas tourner rond du tout de temps en temps.
Il est donc temps de remettre le temps à sa place.
Je constate que le principal reproche lié à l'énigme de la transmission de l'information du plus simple au plus complexe n'est en aucun cas mieux résolu par la science conventionnelle...
L'auteur de cette critique de surcroît passe sous silence l'importance majeure de la théorie du dédoublement du temps qui est précisément de favoriser l'anticipation, l'inspiration et l'orientation dans la conduite de notre vie notamment.